Les cheveux brésiliens, malaisiens, péruviens, mongoliens, cambodgiens… sont très rares sur le marché des extensions capillaires, voire inexistant.
Les cheveux brésiliens, malaisiens, péruviens, mongoliens, cambodgiens… sont très rares sur le marché des extensions capillaires, voire inexistant.
L’appellation ne fait malheureusement pas toujours référence au pays d’origine des cheveux.
En effet, l’immense majorité de ses extensions capillaires proviennent en réalité d’Inde ou de Chine, et sont ensuite traités chimiquement (bain d’acide, bain de silicone, sulfate…) dans le but de leur donner une apparence uniforme et soyeuse.
Cependant, au fil des shampoings, le revêtement en silicone s'estompe et ces cheveux commencent à s'emmêler et à perdre de leur éclat.
Ce ne sont ni plus ni moins que des appellations commerciales, une tactique marketing utilisé par des vendeurs afin de pousser à la consommation dans un secteur très peu réglementé.
1- Le cheveu chinois
Le cheveu chinois est souvent utilisé pour les extensions, mais il n'est pas le meilleur candidat.
Pour se rapprocher au maximum du cheveu européen ou africain, le cheveu chinois est celui qui reçoit le plus de traitement en usine, car il est de nature très raide et de diamètre important.
2- Le cheveu européen
Concernant les cheveux européens et russes présentés comme la meilleure qualité, ils proviennent surtout des pays de l'Est tels que l’Ouzbékistan, le Kazakhstan, etc.
En effet, peu de femmes européennes ou russes sont disposées à se laisser couper leurs cheveux.
Le cheveu étant d'origine aussi plus fin, il n'est pas le meilleur candidat pour le gain de volume.
3- Le cheveu indien
Les cheveux vierges indiens de type « Remy » voir « Raw » sont reconnus depuis toujours comme étant d’excellente qualité sur le marché.
Solides, très proches des cheveux européens, naturellement soyeux avec leur cuticule préservée et l’orientation des cheveux dans le même sens, ils sont conditionnés sans aucun traitement, mis à part bien sûr leur nettoyage, leur tri et leur désinfection.
Le don de cheveux est une tradition ancestrale dans la religion hindoue, un symbole de dévotion religieuse.
Depuis des siècles, il est de coutume de se raser les cheveux et de les offrir aux dieux en signe de respect et de gratitude.
Les temples les revendent ensuite à des entreprises spécialisées, pour une seconde vie.
Les fonds récoltés grâce à ces offrandes sont gérés par les temples, et affectés à diverses œuvres sociales, telles que la distribution de repas gratuits, la construction d'écoles, la construction d'hôpitaux…
Chez CLUSTER, les cheveux avec lesquels nous travaillons sont précisément des cheveux indiens, naturels, vierges, soigneusement sélectionnés et collectés sur des donneurs humains, selon le processus Remy Hair.
5A, 8A, 10AAA, 17AA … Que penser du système de classement des grades ?
Plus on monte en grade, plus la qualité est supposée être supérieure.
Le système de grades des cheveux a été créé par les fournisseurs des cheveux afin de déterminer la qualité de leurs produits et de les distinguer des entreprises qui commercialisaient des cheveux de qualité inférieure.
Le système de notation est évolutif et n'est pas représentatif de la qualité du cheveu. Tout comme les appellations pour décrire les extensions de cheveux, les grades ont aussi un but marketing.
À l'heure actuelle, il n'existe pas de « norme universelle » pour le classement des extensions de cheveux humains. Il n'y a aucune règle commune quant au système de notation de la qualité des cheveux qui soit validé par l’ensemble des acteurs du marché mondial.
Les grades ne correspondent donc à aucun critère précis, les fournisseurs ont des normes différentes concernant la qualité et donc un système de notation propre à chacun.
CLUSTER n'adopte pas le système de grade sur ses produits. Nous pensons que la qualité est déterminée par des facteurs tels que la source de cheveux et leur vie avant le don, le processus de collecte, le conditionnement…
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